Contexte : L'huile végétale est un produit de base de la cuisine. Plutôt bonne pour la santé (en quantité raisonnable), on la choisit un peu au hasard, quand on n'a pas d'habitude bien ancrée sur son type ou sa marque, parmi les quelques unes les plus commercialisées : arachide, colza, tournesol, olive ou maïs.

Le - pour la planète : Leurs provenances et leurs modes de culture distinguent lourdement nos huiles sur le plan de leur impact environnemental.

Le geste TE : Choisir de préférence une huile française ou européenne, dont la production a un impact plus limité sur l'environnement.

Comment : Parmi les huiles courantes, les championnes sont incontestablement les huiles de tournesol et d'olive. Ce sont deux végétaux rustiques, qui n'ont pas besoin de beaucoup d'eau ni de traitement agressif pour produire. Ce qui n'est pas du tout le cas du maïs et du colza, qui consomment beaucoup d'engrais. Le maïs a, en outre, des besoins irraisonnables en eau.

Une huile bio ne présente pas ces inconvénients.

Par ailleurs, l'huile alimentaire se recycle. Jetée dans l'évier, elle bouche les canalisations et empêche le traitement des eaux usées dans les stations d'épuration. Il faut donc stocker l'huile usagée dans des bouteilles en verre ou en plastique fermées, et les apporter dans les points de collecte (en déchetterie) où l'huile sera notamment transformée en carburant pour usage agricole.

Les restaurants ont une obligation de recyclage depuis 1992.

Je choisis mon huile
Retour à l'accueil