Les illuminations de Noël nous transportent dans le monde chéri de l'enfance et du merveilleux.

J'adore ça. Et plus il y a de lumières, plus ça scintille, et plus je suis émerveillée.

Mais bon : ce n'est pas écologique. Il me faut m'y faire.

Comment trouver un équilibre entre écologie et émerveillement ?

Trop d'illumination ou pas ? 🎇

Oui, trop d'illuminations, assurément, pour mon point de vue écologique

Jugez un peu : les illuminations publiques (1/4 des dépenses) et privées (3/4 des dépenses) représentent en France, l'équivalent de la production annuelle d'une centrale nucléaire.

Pile au moment où les ménages consomment beaucoup d'électricité par ailleurs, notamment pour le chauffage. De l'électricité doit alors être importée, et elle provient d'Allemagne, où les centrales à charbon ont des émissions de CO2 record.

Par ailleurs, la faible durée de vie des installations (notamment privées) et la forte incitation au renouvellement, nourrissent une production lointaine et énergétique, aux déchets volumineux et non recyclables.

Bon ben voilà : tout est dit.

Illuminer Noël, en mieux 🕯️🕯️🕯️

J'ai limité mon installation à 1 guirlande lumineuse, et beaucoup de bougies (en portant une attention particulière à la sécurité).

J'allume une bougie supplémentaire par jour devant mes fenêtres pour créer une ambiance magique et festive qui annonce les réjouissances.

La cérémonie de l'allumage et de l'extinction plait beaucoup aux petits et aux grands, et offre une occasion quotidienne de partage, qui met en valeur l'esprit de Noël.

Regardez un peu toutes ces belles idées.

Et voici un article où l'enjeu énergétique est bien expliqué.

Photo Sontung57 sur Pixabay